Le glas résonne dans un plein soleil aveuglant. Le rideau se lève sur le cortège funèbre du second mari enterré par Bernarda Alba, le père de quatre de ses filles. Il n'y a que des femmes, ou des filles de tous âges, dans cette tragédie. Et le rideau final tombera sur la mort de la plus jeune. L'ultime pièce du poète est aussi son pur chef-d'oeuvre théâtral, le plus abouti et le plus harcelé, encerclé par la mort.» Jean-Claude Masson.